Flocons de Bonheur

On le pourchasse, on se l'achète, on le cherche chez l'autre, dans son regard, dans ses gestes. On vogue de plaisirs en plaisirs sans vraiment le toucher. Mais qu'est-ce donc alors que le bonheur?

Le syndrome du vide, c’est cette irrépressible besoin de devoir remplir la case vide. Et il y en a toujours une.

En fait, elle est nécessaire, utile et requise  puisque c’est la case vide qui s’avère être le catalyseur de l’action. Si tout est parfait et en place, quelle serait l’utilité de bouger quoi que ce soit? C’est donc le vide qui appelle l’action, le changement, le mouvement et quand le mouvement cesse, c’est la mort qui s’installe.

N’avez-vous pas ce sentiment récurrent qu’il manque toujours un petit quelque chose?

Que vous ne consacrez pas assez de temps ou d’énergie à ceci ou cela et que ce manque vous entraîne dans une série d’actions visant à combler le vide?

La case comblée fait alors place à une autre qui se vide et le cycle recommence, peu après.

La vie est mouvement, action et la case vide en est le catalyseur.

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2 réponses à « Le syndrome de la case vide »

  1. Avatar de unautreprof

    Tu me fais penser, j’ai lu une partie du livre «The happiness project» et dans un autre ordre d’idée, l’auteur disait que lorsqu’on faisait du ménage, dans n’importe quel meuble, une bibliothèque par exemple, de toujours laisser un espace libre. Ça allège la lourdeur mentale de trop avoir de choses, de ne pas avoir de place pour le changement, pour la nouveauté.

  2. Avatar de pierforest

    UnAutreProf: Quelle bonne idée!

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