Selon Microsoft Copilot, 8% du génome humain provient de rétrovirus ancestraux. Les infections virales auraient ainsi eu un impact majeur sur l’évolution des espèces.
À la base, un rétrovirus a cette capacité d’entrer dans une cellule et la forcer à se reproduire en y intégrant son propre matériel générique.
À chaque fois que j’attrape un rhume (comme c’est le cas présentement), je me dis qu’une partie de moi est peut-être en train de changer, mais en même temps et heureusement, je suis conscient que les rhumes n’ont rien à voir avec les rétrovirus et c’est également sans lien avec l’évolution de l’espèce, puisque que je n’ai ni l’intention ni la possibilité (vasectomie aidant) de me reproduire.
Cependant, ce phénomène m’intrigue toujours, dans la mesure où les virus sont toujours perçus très négativement, à cause des symptômes qu’ils provoquent (un instant, je viens d’éternuer et je vais aller me moucher. 🙂 ).
Les thérapies géniques visent à reproduire de façon contrôlée et avec un objectif précis le mécanisme utilisé par les rétrovirus. Les vaccins à ARN (ceux contre la Covid-19) utilisent d’ailleurs un peu le même mécanisme. Où ça devient intéressant, c’est que ces thérapies géniques offrent des possibilités vraiment intéressantes de guérir des maladies qu’on croyait incurables et je pense ici simplement au diabète de type 1 ou même à certaines formes de cancer.
En même temps, c’est toujours périlleux quand la science commence à jouer aux apprentis sorciers et je pense ici à la trame du film de zombies « Je suis légende » où justement un médicament promettant de guérir le cancer est à l’origine de l’extinction de l’espèce humaine.
Bref, juste quelques réflexions comme ça, inspirées de mon petit rhume. 🙂
Bonne journée à tous
Flocons de Bonheur 
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