Hier, à TVA, Paul Arcand interviewait René Angelil, qui fait la promotion de son livre autobiographique, « Le maître du jeu ». On connaît déjà pas mal cet homme qui a su exploiter efficacement le talent de Céline Dion pour en faire une vedette mondiale. On le savait gambler, on savait qu’il avait gagné et perdu de grosses sommes au jeu. C’est aussi ce tempéramment de Gambler qui a permis le lancement de la carrière de Céline Dion, alors qu’il avait hypothéqué sa maison pour financer ses deux premiers disques. Il connaît sa maladie, celle du jeu et il a fait un commentaire intéressant en disant « qu’il avait une maladie dont il ne souffre pas« . Il demeure sous contrôle.
D’ailleurs, il a délibérément fait en sorte de ne pas être autorisé à signer lui-même des chèques d’entreprises, se protégeant ainsi contre lui-même. En fin d’entrevue, il a mentionné un truc intéressant très en lien avec la façon dont le gambler aborde le jeu. Il disait, finalement que la vie est une suite de séquences et que la stratégie qui lui permet de s’en sortir, c’est d’être patient, de ne prendre aucune décision lorsqu’il est dans une mauvaise séquence et, au contraire, en rajouter quand il se sent dans une bonne séquence.
N’avez-vous pas également ce sentiment que la vie est ainsi faîte? Que parfois, on se sent dans une bonne séquence, ces périodes où tout nous souri et qu’il y a aussi ces mauvaises séquences où tout va mal?
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