Je reviens d’une paresseuse balade en vélo, le long du canal de Chambly et le sourire n’a pas quitté mes lèvres. 19h30, et une chaleur caniculaire (33 degrés), portée par un vent doux qui me caresse le visage. Quelle soirée magnifique, magique.
Josée est guérie de son cancer, les enfants ont tous, près d’eux, un partenaire de vie qui leur convient parfaitement. Ils sont heureux, épanouis et chacun a trouvé sa voie. Et je serai grand-papa de Bébéatrice dans quelques mois. Quand ceux que j’aime vont bien, je vais bien également, je me sens en paix.
Et je suis fébrile à l’idée de débuter ce nouvel emploi dans quelques semaines, avec une équipe qui me plaît, des projets inspirants, davantage de responsabilités. Et je laisse du coup, une équipe solide, bien outillée, qui s’en sortira très bien et qui grandira à travers tout cela.
Tout se met en place, sans que je n’aie fait de plan. Je me sens en harmonie, synchrone, en communion avec mon univers. Et je vis ici, près de la rivière Richelieu, dans ce lieu magnifique, où les arbres centenaires forment des tunnels vert au-dessus des petites rues des vieux quartiers. Et je souris à la vie.
Comme aurait dit l’amie Zed: Merci la vie!
Répondre à unautreprof Annuler la réponse.