
Hier, un peu par hasard, je suis tombé sur l’avis de décès d’une personne avec qui j’ai travaillé, il y a plusieurs année. Plus tôt, cette année en discutant avec un ancien collègue de la même entreprise qui m’avait retrouvé sur Facebook, je lui avais indiqué l’intention d’une autre collègue d’organiser une rencontre des anciens et je trouvais l’idée intéressante. Après tout, j’avais travaillé là pendant 25 ans, alors il s’établit des liens au cours de toutes ces années. J’ai encore lui ou elle, dans mes contacts Facebook, lui avais-je dit. Ah, celle-là est décédée d’un cancer du cerveau l’année dernière, m’a-t-il répondu. Même si ça faisait un bout de temps et que je n’étais pas tant en contact avec ces personnes, ça laisse tout de même un sentiment de vide. On repense tout à coup à ces personnes, aux liens qui nous unissaient à eux, à des moments vécus, des anecdotes. La vie est un peu comme une autoroute, où chaque borne marque le chemin parcouru et des souvenirs qu’on laisse derrière soi jusqu’à ce qu’on soit au bout de la route.
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