Archives de mars, 2019

Il y a des amours qui naissent et jamais ne meurent

Pas eux, mais ceux qui les portent

L’amour se transforme et se désincarne

Il reste présent comme le vent

Comme une brise qui réconforte

Par une chaude nuit d’été

Et il y a ces amours imprévus

Qui naissent en crocus printaniers

Qui percent la neige ensevelie

Et qui brillent de leurs couleurs

En chantant la vie

L’essentiel
C’est d’être aimé
Le reste importe peu, la seule vérité
C’est compter pour quelqu’un quoiqu’il puisse arriver
C’est entrer dans son coeur et n’en sortir jamais
C’est recevoir autant qu’on aimerait donner
Ne plus s’appartenir, en être rassuré
C’est voir la joie de l’autre et fondre de bonheur
Mériter sa confiance et devenir meilleur

L’essentiel
C’est d’être aimé
Contrairement à tout ce qu’on peut raconter
Ce n’est pas la fortune ou la célébrité
Qui ne sont que du vent et ne font que passer
Je crois que l’important est fait de petits riens
Être attendu le soir et courir en chemin
Un des plus beaux cadeaux que nous ait fait la vie
c’est quand notre prénom l’air d’un mot gentil

L’essentiel
Jour à près jour
C’est le rire aux éclats d’un enfant qui accourt
Et qui nous saute au cur en guise de bonjour
Que demander de plus
Quand ces bras nous entourent
Le reste importe peu, la seule vérité
C’est compter pour quelqu’un quoi qu’il puisse arriver
être un jour exiler en pays étranger
et avoir, dans son coeur, quelqu’un à qui parler
C’est inspirer à l’autre un sentiment si fort
Qu’il pourrait nous survivre au-delà de la mort
C’est d’être aimé, encore et toujours
Mon amour…

Paroliers : Aznavour Charles / JOURDAN MICHEL EUGENE

Le printemps…enfin presque

Publié: 8 mars, 2019 dans Bonheur, souvenirs, Temps

Ouf, on a survécu!

C’est souvent l’idée qui me vient en tête quand le printemps se pointe le nez. Bon, on n’y est pas encore tout à fait, puisque ce matin on affiche encore -12, mais on sent que ça s’en vient. Le soleil a été pas mal absent cet hiver et il me manque. J’ai hâte d’enfiler mes souliers de course et aller courir quelques kilomètres sans risquer de me casser la gueule sur une plaque de glace. J’ai hâte à la chaleur, j’ai hâte au printemps dans toute sa splendeur, quand tout renaît et que les oiseaux chantent. Ça s’en vient.